L’allemand est la langue maternelle d’environ 130 millions de personnes. Au sein de l’Union Européenne, l’allemand est la langue maternelle la plus parlée ! C’est une langue officielle en Allemagne, Autriche, Belgique, Luxembourg, Suisse et au Liechtenstein.
La globalisation des échanges commerciaux entraîne de fait une augmentation des litiges internationaux. L’arbitrage international est un mode de règlement de différends donnant compétence à un arbitre pour trancher des litiges mettant en cause des intérêts du commerce international. Cette procédure est semblable aux litiges devant les tribunaux nationaux, mais au lieu de se dérouler devant un tribunal national, elle se déroule devant des arbitres privés. L’arbitrage international repose sur une convention d’arbitrage qui est formalisée par les deux parties, soit lors de la négociation du contrat, en prévention d’un éventuel conflit. On parle alors de clause compromissoire. Soit lors de la survenue du différend, via un compromis d’arbitrage. Les règlements d’arbitrage sont édictés par des institutions officielles comme la Commission des Nations Unies pour le Droit Commercial International (CNUDCI) ou la Chambre de Commerce International.
Avec la globalisation des échanges commerciaux, les entreprises peuvent être amenées à être confrontées à des différends, voire des litiges, avec des partenaires, clients ou fournisseurs situés à l’autre bout du monde. La gestion d’un litige dans un cadre international est complexifiée par les différences entre les systèmes juridiques, des règles en vigueur dans chaque pays et par la diversité des cultures judiciaires.
Dans un monde globalisé, les échanges commerciaux internationaux sont de plus en plus nombreux. Et les avantages d’un contrat de partenariat commercial ne sont pas négligeables pour le développement de votre entreprise : gain de notoriété, de parts de marché, innovation à moindre risque et bien sûr présence renforcée sur les marchés internationaux ! Vous souhaitez formaliser vos relations commerciales avec des partenaires ou futurs partenaires basés à l’étranger ? Alors il sera préférable de produire une version traduite dudit contrat afin que celui-ci soit parfaitement compris par les deux parties.
Dans la cadre de vos échanges avec des clients, prospects, partenaires, salariés ou associés, vous êtes certainement amenés à diffuser des informations sensibles de votre entreprise. Un accord de confidentialité est un document important dans le monde des affaires, il garantit la protection de vos données sensibles. Dans le cadre de relations internationales, la traduction de celui-ci dans la langue de vos interlocuteurs est fondamentale.
Toute entreprise cherchant à s’internationaliser, et donc à s’implanter sur un ou plusieurs marchés étrangers, se doit d’avoir conscience des différents cadres linguistico-culturels dans lesquels elle sera amenée à évoluer. En effet, bien qu’il existe actuellement plus de 6900 langues différentes, opérer un choix parmi celles-ci afin de définir une véritable stratégie de localisation est crucial pour communiquer au mieux avec le public visé. La première étape étant de définir clairement vos objectifs macroéconomiques et votre public-cible. Peut-être aussi pouvez-vous vous renseigner sur les différentes langues utilisées par vos concurrents pour essayer de dégager des tendances. Cela peut sembler fastidieux, mais nous avons réunis ici les 5 langues les plus utilisées dans les communications commerciales internationales pour vous aider au mieux dans cette démarche.
La légalisation ou authentification est une formalité administrative qui permet d’attester de l’authenticité d’un acte public ou d’un acte sous seing privé. Par cette légalisation, une autorité publique certifie avoir authentifié l’identité et la qualité du ou des signataires de l’acte ainsi que le sceau ou timbre dont cet acte est revêtu. Cette légalisation se matérialise par l’apposition d’un cachet sur le document.
L’apostille est une forme de légalisation simplifiée qui consiste en l’apposition d’un cachet rectangulaire par la Cour d’Appel dont dépend le document. Ce cachet revêt toujours la même forme. Instaurée par la Convention de La Haye le 5 octobre 1961 et ratifiée par la France en janvier 1965, l’apostille a supprimé l’exigence de légalisation des actes publics entre les pays signataires. Cette apostille atteste de la conformité du document au regard de la législation française. Il s’agit d’une procédure de légalisation qui certifie la provenance d’un acte public ainsi que l’authenticité de la signature et de la qualité de l’autorité de délivrance.